Partie 3: La réglementation
 

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Intro

Les Bases
Les effets
>Reglementation
Conclusion

Lexique

 

III- Réglementation

     A)Que dit la loi ?

                             ARRETE DU 25 MARS 2005
    Classe S.2 –Hormones et substances apparentées aux agents anabolisants
Les substances interdites appartenant à la classe S.2 comprennent les substances suivantes, y compris d’autres substances possédant une structure chimique similaire ou des effets biologiques similaires, et leurs facteurs de libération :
        -érythropoïétine (EPO)

[...]

 

         A moins que le sportif puisse démontrer que la concentration était due à un état physiologique ou pathologique, un échantillon sera considéré comme contenant une substance interdite lorsque la concentration de substance interdite ou de ses métabolites ou de ses marqueurs et/ou de tout autre pertinent dans l’échantillon du sportif est supérieure aux valeurs normales chez l’humain et qu’une production endogène normale soit improbable.

         En outre, la présence de substances possédant une structure chimique similaire ou des effets biologiques similaires, de marqueur(s) diagnostique(s) ou de facteurs de libération d’une hormone interdite, ou de tout autre résultat indiquant que la substance détectée est d’origine exogène, sera rapporté comme un résultat d’analyse anormal.

    citation ¨www.dopage.com¨

           B)Réglementation sportive

        Si l’hématocrite d’un coureur dépasse la norme établie par l’UCI, le coureur n’est pas autorisé à prendre le départ et/ou peut être suspendu pour une durée de quelques semaines. On remarque cependant qu’elle ne concerne jusqu’à présent qu’un très faible nombre de coureurs au départ de quelques courses seulement.

         De plus les laboratoires fournissent le rHuEPO aux coureurs cyclistes ne risquent judiciairement, seul le coureur est pénalisé.¨

         Il est essentiel de réaffirmer l’interdiction absolue de toute pratique de dopage, l’usage de produits dopants étant une menace très grave pour la santé et l’intégrité physique, et d’assurer le respect du Code Antidopage du Mouvement Olympique. Les méthodes d’entraînement trop intensives, abusives ou pouvant attenter à l’intégrité physique ou psychologique d’un athlète doivent être rigoureusement proscrites. Les mineurs et les femmes doivent être particulièrement protégés en raison de leur vulnérabilité et des préjugés culturels et sociaux dont ils sont l’objet et qui les exposent souvent à un risque d’exploitation ou de discrimination.

         Les athlètes et tous les participants à l’organisation, la préparation, la réalisation technique et le déroulement des Jeux Olympiques de 2006 ont le droit de travailler dans des conditions de nature à assurer leur sécurité et leur bien-être, et doivent pouvoir bénéficier des soins médicaux dont ils ont besoin pour leur équilibre physique et psychique.

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